Chez Deafi, nous avons une réelle volonté d’équité et de mixité au quotidien. Chaque année, Deafi est soumis à une évaluation sur l’égalité femmes-hommes au sein de l’entreprise afin de lutter contre l’inégalité professionnelle. Cette année, nous sommes fiers d’avoir obtenu un score de 96/100.

L’index d’égalité femmes-hommes

La loi pour la Liberté de choisir son avenir professionnel soumet les entreprises à une obligation de résultat en créant l’Index de l’égalité Femmes-Hommes pour mesurer le plan d’égalité professionnelle des entreprises. L’index répond à 5 grands critères qui évaluent les inégalités femmes et hommes dans les entreprises sous la forme de 100 points.

Les 5 critères :

  • Écart de rémunération entre les femmes et les hommes
  • Écart de répartition des augmentations individuelles
  • Écart de répartition des promotions
  • Nombre de salariés augmentés à leur retour de congé de maternité
  • Parité parmi les 10 plus hautes rémunérations

Si une entreprise à une note en dessous de 75 points, elle a trois ans pour prendre des mesures en adéquation afin d’augmenter cette note.

Deafi obtient 96 points

Dans un souci de transparence et pour répondre à cette obligation légale, Deafi a calculé son index, basé sur l’année 2021. 

Cette année, nous avons obtenu un total de 96/100 pour cet index égalité femmes-hommes. Ce résultat est en adéquation avec une des valeurs principales de Deafi : l’équité. Femme ou homme, il n’y a aucune différence de traitement ou de salaire chez Deafi. Chaque année, nous réalisons un audit en interne via l’enquête Great Place to Work et cette année 86% de nos collaborateurs considèrent qu’ils sont traités équitablement quel que soit leur genre. Ici, on prône la mixité et on valorise les compétences et non les différences.  


Manon Bourretere – Assistante communication digitale

Étudiante en Master 2 Manager de projets innovants, Manon Bourretere est en alternance au sein de Deafi en tant qu’assistante communication digitale. Elle s’occupe principalement du blog, des réseaux sociaux, et du comité de rédaction.